samedi 11 août 2012

Pas de Math !

http://radioego.com/ego/listen/11643

J'ai enfin trouvé le "politico" typique Québecois.
J'aime ! ...j'A D O R E !

vendredi 10 août 2012

PFMT / Ils vont chercher le fric!

Performant Financial, which recovers delinquent and defaulted loans for the Department of Education and Medicare, raised $81 million by offering 9 million shares at $9 apiece.
http://www.performantcorp.com/
Beau petit IPO ...beaucoup de business à venir.

Si le gouverMAMAN n'a pas des cash...

U.S. regulators directed five of the country's biggest banks, including Bank of America Corp and Goldman Sachs Group Inc, to develop plans for staving off collapse if they faced serious problems, emphasizing that the banks could not count on government help.

IMX.to IMAX.nyse

LARKSPUR, CA, July 26, 2012 /CNW/ - Kevin Douglas of 125 E. Sir Francis Drake Blvd., Suite 400, Larkspur, California, 94939, has announced today that he acquired, through and on behalf of K&M Douglas Trust, Douglas Family Trust, James E. Douglas III, and Douglas Irrevocable Descendants Trust, 100,000 common shares of IMAX Corporation ("IMAX"), such that it now has control or direction over 8,436,447 common shares of IMAX representing approximately 12.80% of the total common shares outstanding.

Et là en Août il achète encore un 300 000 parts.

.  Trade Date  SymbolCompany Name (Issuer)Trade Type    Shares      Price ($)  Value ($)2012-08-08IMAXImax CorpPurchase90,900 21.811,982,5292012-08-07IMAXImax CorpPurchase209,100 21.784,554,1982012-07-20IMAXImax CorpPurchase100,000 24.402,440,0002012-07-17IMAXImax CorpPurchase100,000 25.712,571,0002012-07-12IMAXImax 

jeudi 9 août 2012

KCG.nyse


Knight Capital est sauvé. Le courtier américain,spécialiste du trading "haute fréquence" qui avait perdu 440 millions de dollars la semaine dernière à la suite d'un bog informatique, est parvenu à réunir 400 millions de dollars pour éviter la faillite. Six investisseurs, dont son concurrent Getco, détiendront à terme plus de 70 % de ce courtier "de gros" .


Le trading haute fréquence consiste à passer des ordres de Bourse automatisés à des vitesses toujours plus rapides grâce à des programmes informatiques très sophistiqués.

 "Le trading automatisé montre ses limites lorsqu'il devient incontrôlable", déplore Benoît Lallemand, de l'ONGFinance Watch, qui souligne qu'il a fallu une demi-heure au courtier pour arrêter sa machine.
Si les clients de Knight Capital n'ont pas été affectés, le courtier a vite été submergé et a été lesté de plus de 4,5 milliards de dollars d'actions en quelques minutes. La banque Goldman Sachs a dû intervenir en urgence, le soir du 1er août. Elle a racheté les actions non désirées à prix cassé pour aiderKnight à "passer la nuit", rapporte le Wall Street Journal.

mardi 7 août 2012

jeux


Le géant de la vente en ligne a publié son premier jeu social sur Facebook. Le nouveau studio de développement d'Amazon pourra également alimenter sa tablette maison, le Kindle Fire, en jeux mobiles.


Amazon poursuit la diversification de ses activités. Après la vente en ligne, la conception de tablettes et l'édition de livres , le géant américain a dévoilé l'existence de son propre studio de développement de jeux vidéo, simplement nommé Amazon Game Studios.
Le studio a choisi la plate-forme Facebook pour son premier titre, living classics . La mécanique de jeu est simple, voire rudimentaire: le joueur doit repérer dans un riche décor inspiré des grands classiques de la littérature, comme Alice au pays des merveilles ou L'Ile au trésor, des objets animés. De sa rapidité à cliquer sur ces derniers dépendra son score final.
Johnson & Johnson Inc. JNJ.nyse and Pfizer, Inc. PFE.nyse both announced they are stopping development of a drug to treat patients with mild to moderate Alzheimers after the drug failed a second clinical trial.
The companies both noted the drug, bapineuzumab, did not improve the condition of Alzheimer’s patients compared to a placebo.


c'est fini...

«Le culte des actions est en train de mourir.» Bill Gross, le plus important gestionnaire d’obligations du monde et co-chef des placements de Pacific Investment Management (PIMCO), y est allé d’une autre déclaration-choc dans son plus récent billet financier mensuel.

Selon le réputé gestionnaire, les investisseurs devraient remettre en question la bonne vieille philosophie d’acheter des actions dans le but de les détenir à long terme.

Fini, donc, les rendements annuels de 6,6 % (après inflation) que les actions ont procuré depuis cent ans, affirme M. Gross.

Ce taux de rendement, qu’il qualifie d’«aberration historique», ne se reproduira pas de sitôt en raison du ralentissement de l’économie mondiale.

«Si le PIB de l’économie peut seulement produire 3,5 % de plus de biens et services chaque année, comment un acteur du système économique (les actionnaires) peuvent-ils profiter de façon régulière au dépens des autres acteurs (les prêteurs, les travailleurs et les gouvernements)?», demande-t-il.

M. Gross doute que les actions puissent procurer un rendement de 6,6 % comme par le passé quand l’économie croît au ralenti.

Cela dit, la firme que dirige le coloré gestionnaire continue d’investir dans les actions. «Nous croyons que les rendements des différentes catégories de placement seront plus faibles que par le passé, mais nous demeurons convaincus que les actions ont encore un rôle à jouer dans le portefeuille de nos clients»


Les pessimistes se multiplient:

Bill Gross n’est pas le seul à prédire un avenir sombre aux actions. Mardi, le stratège de Bank of America, Savita Subramanian, a souligné qu’un indicateur boursier maison, qui prend le pouls des investisseurs, a décliné pour la dixième fois cette année à un nouveau creux historique, soit depuis 1985.

Cet indicateur signale que les stratèges des firmes de courtage sont plus pessimistes envers les actions qu’ils ne l’ont jamais été en 27 ans.

Par ailleurs, en mai dernier, le sérieux Financial Times de Londres titrait une analyse « Out of stock », dans laquelle il affirmait que six décennies de passion envers les actions ont pris fin, citant les pressions réglementaires sur les assureurs et les caisses de retraite pour qu’elles privilégient les obligations.

«Les actions n’ont pas été aussi en défaveur depuis un demi-siècle. Plusieurs affirment que le culte des actions est mort», peut-on lire dans l’article qui précise que l’assureur allemand Allianz a seulement 6 % de son actif à la Bourse.

Ce pessimisme croissant envers les actions n’est pas sans rappeler aux investisseurs d’un certain âge la célèbre une du magazine Business Week, qui proclamait la mort des actions, en août 1979. Résultat: l’indice S&P 500, baromètre de la Bourse américaine vaut 1227 % de plus qu’à cette époque...