jeudi 7 février 2013

7% ?


Apple‘s shares could rally as much as 50% if the company were to be more aggressive in paying out free cash flow to shareholders, Legg Mason portfolio manager Bill Miller proposed in an interview with theFinancial Times.
Miller proposes that Apple keep the $137 billion in cash it already has piled up and apply all future free cash flow into the company’s dividend.
The company paid out about $2.5 billion in dividends to holders in the latest quarter, which is a respectable $10 billion annual rate. But the stock even after the recent slide in price the stock has a yield of just 2.4%.
So, here’s the thing. In the September 2012 fiscal year, Apple boosted its cash position by a whopping $40 billion; in the December quarter the total increased another $16 billion. The stuff is stacking up to the ceiling and beyond.
So imagine the company upped the pay out to, say, $30 billion, and the stock had a yield north of 7%.
Think that would get some attention from investors?
Oh, yes, it sure would.

mardi 5 février 2013

Apple a une tonne de cash....Samsung aussi !

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Samsung Electronics said on Monday that it is launching two venture funds worth a total of $1.1 billion as well as a strategy and innovation center on Menlo Park’s Sand Hill Road.
A $100 millon Samsung Catalyst Fund will focus on early-stage companies while a $1 billion Samsung Ventures America Fund will target companies of all sizes.
In addition to the Menlo Park office, the Samsung Strategy and Innovation Center will have offices in Korea and Israel and be led by Samsung Electronics’ newly installed president and chief strategy officer, Young Sohn.
Sohn is holding a press conference in Menlo Park momentarily to discuss things.
 Sohn says he hopes to demystify Samsung a bit, even though the company is already a $188 billion company and the ninth biggest global brand. All this from a company that started out making black-and-white TVs.

Obama signs bill raising federal debt ceiling, setting up another clash later this year


President Barack Obama has signed into law a bill raising the government's borrowing limit, averting a default and delaying the next clash over the nation's debt until later this year.
The legislation temporarily suspends the $16.4 trillion limit on federal borrowing. Experts say that will allow the government to borrow about $450 billion to meet interest payments and other obligations.
The Senate gave the bill final approval last week and sent it to Obama, who signed it Monday shortly after returning from Minneapolis.
Democrats and Obama had warned that failure to pass the bill could set off financial panic and threaten the economic recovery.
The bill includes a provision attached by House Republicans that temporarily withholds lawmakers' pay in either chamber that fails to produce a budget plan.

lundi 4 février 2013

2 petits stocks a mettre sur la watch list....des fois que !


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BB.to BBRY.nasdaq


Alors qu'elle était au sommet de sa gloire il y a quelques années, RIM a raté le virage grand public du secteur des smartphones, et ses parts de marché ne cessent de s'éroder. Mais avec son nouveau système BlackBerry 10, lancé il y a quelques jours, la société compte bien faire table rase du passé et se relancer sur ce secteur en pleine croissance. La société a même changé de nom, pour reprendre celui de sa marque fétiche : RIM s’appelle désormais BlackBerry
Comme RIMBlackBerry joue à quitte ou double avec ce nouveau système, le constructeur s'est permis de le revoir très en profondeur, et le système 10 est donc radicalement différent du système existant. Il repart en fait sur la base QNX que BlackBerry avait déjà utilisée pour sa tablette PlayBook, qui n'a pas connu un grand succès pour l'instant.
Par-dessus cette base commune, BlackBerry a développé une nouvelle interface adaptée aux écrans de smartphones. Une interface qui, si elle est moins radicale que celle de Windows Phone, risque quand même d'en dérouter plus d'un, en raison d'une petite originalité : BlackBerry ne s'est pas contenté de supprimer les boutons physiques, comme l'a fait Google depuis Android 3, mais a carrément aussi supprimé les boutons virtuels ! Toute l'interface de ce nouveau système s'appuie donc sur des gestes, qu'il faudra mémoriser, sous peine de se retrouver rapidement coincé. Ils sont heureusement assez simples. Par exemple, depuis n'importe où, un balayement du bas de l'écran vers le haut déclenchera un retour vers l'écran d'accueil, tandis qu'un mouvement en L inversé permet d'afficher le BlackBerry Hub.
Cette fonction est grosso modo l'équivalent du centre de notifications d'iOS, centralisant donc l'ensemble des notifications, mais combiné en plus au client mail, pour lequel il fait office de boîte de réception, mais aussi à divers autres systèmes de communication, y compris ceux appliqués par des applications tierces (SMS, téléphone, réseaux sociaux...). Une unification bien pratique, même si le mélange entre les notifications et la messagerie peut parfois apporter un peu de confusion.
L'écran d'accueil est pour sa part une sorte de mélange entre celui de Windows Phone et celui d'iOS : le premier écran contient les dernières applications utilisées (jusqu'à 8) sous forme de grandes icônes ou de widgets dynamiques, tandis que le second écran liste l'ensemble des applications sous forme de grille d'icônes. D'après les premiers retours de The Verge, le premier écran serait toutefois assez déroutant, de par le manque de contrôle dont dispose l'utilisateur dessus. Impossible par exemple d'y garder une application en permanence ou de l'organiser, seul compte l'ordre d'utilisation des applications.
BlackBerry a également grandement progressé sur la partie clavier virtuel de son système. Habitué à vendre des appareils dotés d'un clavier physique, le constructeur avait quelque peu négligé ce point sur ses premiers modèles tactiles, mais a cette fois proposé un clavier qui semble à la fois efficace et original. Le constructeur a repris le principe de la liste de suggestion en cours de frappe, mais au lieu d'afficher cette liste sur une ligne au-dessus du clavier, chaque mot est affiché au-dessus de la prochaine lettre qu'il faudrait taper pour le composer. Par exemple, après avoir écrit "bon", le clavier affichera "bonjour" au-dessus de la lettre J.Engadget va d'ailleurs jusqu'à considérer ce nouveau clavier comme le meilleur disponible nativement sur un OS mobile.
 BlackBerry a présenté pour l'instant deux modèles.
Reste à parler de l'écosystème. Ce point est devenu un point clé pour le succès d'un OS : sans une bonne bibliothèque d'applications, BlackBerry 10 n'aura aucune chance de survie. Pour arriver rapidement à un grand nombre d'applications....... Ainsi, BlackBerry annonce 70 000 applications dès le lancement, dont une bonne partie ont été portée depuis Android. Malheureusement, The Verge souligne que, si la quantité est là, la qualité, elle, fait défaut. Une partie des applications sont des mauvaises adaptations d'applications initialement dédiées à la PlayBook, tandis que l'intégration des applications Android est tout simplement inexistante...
BlackBerry s'en sort heureusement un peu mieux sur la partie multimédia, avec une boutique de films, série et musique plutôt complète, dont le plus gros défaut est de ne pas proposer la lecture en streaming.
Au final, le bilan de ceux qui ont pu tester l'appareil et le système est donc plutôt mitigé. Le matériel est plutôt dans la bonne moyenne pour son prix, le système n'est pas mauvais, mais il n'est pas non plus franchement mieux que ce que fait la concurrence, et risque donc d'avoir du mal à se faire une place, avec trop peu d'arguments pour convaincre les utilisateurs d'iOS et d'Android de changer de système, en perdant leurs habitudes et leurs applications. Il reste tout de même une base bien meilleure que l'ancien système pour l'avenir de BlackBerry, qui devra désormais travailler à peaufiner son écosystème pour faire de BlackBerry 10 son sauveur. Espérons qu'il y parvienne, avoir une troisième ou une quatrième plateforme de poids dans le secteur ne serait sans doute pas un mal pour dynamiser le marché et empêcher les deux leaders de se reposer sur leurs lauriers.

dimanche 3 février 2013

Jaguar and Land Rover Will Drive Tata Higher



Tata Motors may still be best known as the Indian auto maker behind the world's cheapest car, the Nano, but its fortunes now are being driven by its acquisition of British luxury brands Jaguar and Land Rover—and there's a long road ahead.
The initially maligned purchase has already worked out well for shareholders, with Tata Motors' American depositary shares returning 26% over the past three years, compared with 14% for the S&P 500. The ride isn't over: As the company introduces eight new or refreshed models this year, money managers expect profitability to improve and sales growth to continue. Within the next 18 months, Tata, which trades at a discount to global luxury auto makers, could narrow its gap with the likes of BMW and Daimler, offering 25% upside in the stock.
TTM.nyse SLASHED COSTS and invested $3.2 billion in the Jaguar Land Rover division. Sales soared, and the company's profits quintupled from 2010 to 2012—its fiscal year ends in March—to $2.8 billion. The division now generates more than three-quarters of Tata's earnings before interest, taxes, depreciation, and amortization, and two-thirds of the $39.8 billion in sales expected for fiscal 2013. The luxury brands have transformed the company, created in 1945, two years before India's independence, into a global player with a foothold in the lucrative and growing luxury-auto market. "If you changed Tata's name to Jaguar Land Rover, the stock would get a bump up," says Burns McKinney, manager of the $3 billion Allianz NFJ International Value Fund.